
Nom du blog :
linka
Description du blog :
Espace consacré aux dimensions du chronotope dans la littérature et la culture africaine.
Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
15.10.2009
Dernière mise à jour :
10.04.2013
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identifier les espaces dans le roman ville cruel d'eau boto
Par Anonyme, le 20.09.2024
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exposé sur ville cruelle eza boto
Par Anonyme, le 03.03.2021
hhhh
Par Anonyme, le 18.07.2020
L’intérêt pour le temps-espace s’est accru et répandu sans toutefois qu’une formule autre que le chronotope ne soit trouvée pour rapprocher les deux éléments. Une étude pluridisciplinaire dirigée par Samia Naïm et publiée sous le titreLa Rencontre du temps et de l’espace. Approches linguistique et anthropologique,Paris, Peeters, 2006 tente de répondre à des questions fondamentales telles que celle de savoir s’il existe des cultures moins «spatialisantes » que d’autres. La variété des approches et des cultures étudiées (de par le monde) par les éminents chercheurs ayant contribué à ce projet semble livrer davantage des richesses de diversité qu’un point de rencontre susceptible de constituer une théorie, un concept ou une piste consensuelle, comme le souligne Jean Louis Siran (2007) :
Alors comment rendre justice à un ouvrage comme celui-ci, qui rassemble des contributions de linguistes et d’anthropologues, quelques-unes de haute volée, mais dont la « rencontre » a été, me semble-t-il, manquée ? – Les anthropologues s’adressent aux anthropologues, les linguistes aux linguistes.
Quant à la question mentionnée ci-dessus, Siran fait remarquer :
Les deux langues africaines présentées permettent de mesurer toute la difficulté de la question. En bafia (langue bantoue du Cameroun qu’étudie Gladys Guarisma), le lexique référant à l’espace est plus riche que celui qui a trait au temps, mais les deux semblent bien totalement indépendants l’un de l’autre.
À ce niveau apparait clairement la nécessité d’une approche chronotopique dans l’étude d’un texte littéraire, car parler de la rencontre du temps et de l’espace présuppose l’existence de ces deux éléments comme des réalités distinctes opérant séparément, dans le domaine de la linguistique principalement. Paul Smethurst (2000: 68) fait le constat que la littérature moderniste, en essayant de représenter une conscience moderne du temps, tend à utiliser l’espace au service du temps, traduisant des indicateurs temporels en spatiaux dans une tentative d’ « immobiliser » des séquences temporelles le long d’un axe spatial horizontal, comme les cadres figés d’un film au cinéma. Or, ajoute-t-il, l’optique du chronotope offre une meilleure perception de ces moments en les captant à l’intersection, à 90 degrés, de la force temporelle verticale et de la force spatiale horizontale : « The use of the chronotope as an optic makes it clearer to see those moments when time as a vertical force and space as a horizontal one seem to slew through ninety degrees. ». (Idem)
La démarche bakhtinienne, qui s’oriente plus vers l’herméneutique littéraire, part du principe consensuel de l’indissolubilité du temps et de l’espace dont les indices dans le roman en livrent la diversité, permettant au texte de livrer ses trésors linguistiques, anthropologiques, historiques, sociologiques, politiques, culturels, etc.
Voir: Lin Bernard Nka, «La Corrélation temps-espace dans l'oeuvre romanesque de Mongo Beti. Parcours chronotopique de Ville cruelle, Perpétue et Branle-bas en noirs et blanc»,Bergen,2011.
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La vie de nuit / Les villes de nuit
Information publiée le jeudi 14 février 2013 par Perrine Coudurier
(source : Julien Walterscheid-Finlay)
Date limite : 15 mars 2013
JOURNÉE D'ÉTUDE - LA VIE DE NUIT / LES VILLES DE NUIT
UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL, 10 avril 2013
La présente journée d'étude, sous l'égide du Département de littérature comparée de l'Université de Montréal, a pour objectif de permettre à des jeunes chercheurs désireux d'exposer leurs travaux sur la question, de se rencontrer, d'échanger et d'élaborer une pensée commune autour de ces trois thèmes, sous toutes leurs formes et leurs sens : la ville, la nuit, la migration. Ces résultats collectifs serviront de fondations à un colloque universitaire en 2014 avec une possible publication, permettant ainsi aux participants de s'engager dans un projet à long terme.
Problématique
Peut-on concevoir une écologie culturelle de la nuit ? Il s'agit ici de considérer la nuit non plus comme un temps, mais comme un lieu, avec ses règles, ses codes, ses langages dont les fgurations dans de nombreuses disciplines artistiques traduisent des existences particulières et singulières, qui méritent dès lors qu'on s'y intéresse. Avec l’avènement de l'éclairage urbain, on observe une perte défnitive de la nature. Nous sommes entrés dans une ère hyperlumineuse qui conditionne l'humain dans une vie toujours éclairée. Pourtant, des zones d'ombres se créent : échappatoires et cachettes qui permettent à certains de sortir du monde connu, du monde visible. Dans un même temps, les villes modernes cherchent à réinvestir cet espace et ce temps par des politiques actives et permissives, par la promotion de festivals, d'une tolérance aux établissements nocturnes ou encore de nouvelles installations lumineuses qui ne sont plus forcément utiles mais esthétiques. Pensons par exemple aux nouveaux éclairages des monuments à Paris, qui rehaussent l'éclat des monuments par l'utilisation d’éclairages indirects et la mise en service des halogènes, ou encore aux désormais internationales Nuits Blanches qui ont pour buts de rendre la ville festive et colorée en mélangeant des activités artistiques et des installations lumineuses inhabituelles.
Le noctambule devient traducteur linguistique, social et spatial. Il faut dès lors se poser la question de la représentativité de ces acteurs nocturnes et leur mode d'évolution. La nuit est aussi un refuge ou un exil pour celles et ceux qui n'acceptent pas la société ou qui n'y sont pas acceptés. La nuit serait-elle alors une prétendue zone de non-droit qui recueille les marginaux ? Pourrions-nous parler de migrants sociaux qui franchissent les frontières de la nuit comme d'autres passent au-delà des limites d'un État ? Il faut penser la nuit en ville dans son ensemble et selon toutes ses représentations. Une approche comparative permettra de mieux comprendre le rôle de nos médias dans la création de cet imaginaire qui reste largement inexploré. Nous invitons des contributions qui questionnent et problématisent les perceptions et représentations externes ou internes de la ville et de la nuit dans le contexte de champs de recherches multidisciplinaires : littératures, études urbaines, études postcoloniales, architecture et urbanisme, cinéma, photographie, histoire, sociologie, communication.
Thèmes de réflexion possibles
• Les perceptions externes de la nuit et leurs représentations dans les médias et discours publics;
• Les approches interdisciplinaires explorant les représentations des territoires nocturnes ou les perspectives comparatives sur le sujet;
• Le rôle de différents médias (littérature, flm, photographie, presse écrite, télévision, etc.) dans la formation des images de la vie nocturne;
• Les interactions entre cadre physique et perception des lieux;
• Les différentes formes artistiques qui représentent la vie urbaine et la vie nocturne;
• Les approches comparatistes interrogeant les modes de vie en ville et de nuit à l’échelle internationale ;
• L'évolution des modes de vie des travailleurs nocturnes/de la prostitution/du monde festif de la nuit;
• L'évolution de l'éclairage urbain;
• Les pratiques d'urbanisme-lumière et les politiques temporelles telles que la
chronotopie;
Modalités
Les personnes désireuses de participer sont priées d'envoyer le titre de leur communication accompagné d'un résumé (maximum 300 mots) et un CV (maximum 200 mots), rédigés en français ou en anglais. Les frais de séjour et de voyage des participants seront à leur charge.
Organisateur
Julien Walterscheid-Finlay, doctorant au département de littérature comparée de l'Université de Montréal : julien.walterscheid-finlay@umontreal.ca
Responsable : Julien Walterscheid-Finlay
Url de référence :
http://littco.umontreal.ca/accueil/
Adresse : Université de Montréal, Département de littérature comparée, pavillon Lionel- Groulx, 3150 Jean-Brillant, local C-8132-1 Montréal (Québec) H3T 1N8 CANADA
L’espace et le quotidien dans le roman contemporain
Information publiée le mardi 12 février 2013 par Ivanne Rialland (source : David Martens)
Date limite : 30 mars 2013
L’espace et le quotidien dans le roman contemporain
Dossier coordonné par Liesbeth François (KU Leuven) & María Paz Oliver (KU Leuven)
Interférences littéraires / Literaire interferenties, n° 13, juin 2014
À la faveur du spatial turn, les études littéraires ont souligné l’importance de l’espace comme mode de représentation des dimensions psychologiques, culturelles et sociologiques de la nature humaine (Soja 1989, Hallet & Neumann 2009). Elles ont dans le même temps fait apparaître la nécessité de repenser les oppositions qui structurent traditionnellement la représentation de l’espace (centre-périphérie, urbain-rural, etc.), et qui furent remises en question par des courants de pensée liés à la postmodernité (Kaplan 1996). Dans le contexte d’une globalisation qui détermine, à l’échelle mondiale, un nouveau rapport à l’inscription spatiale des individus, des sociétés et des États, la littérature a elle aussi été affectée, en particulier dans la façon dont elle rend compte de l’expérience contemporaine de l’espace et, tout spécialement, de l’espace quotidien.
Ainsi, aujourd’hui, dans différentes traditions nationales, le récit interroge le présent immédiat dans ses dimensions spatiales. En témoignent, par exemple, les récits qui relèvent de l’ethnofiction (Augé 2011) : le regard s’y tourne vers l’ici et le maintenant pour enregistrer les détails de la vie quotidienne. On pensera également, dans la littérature espagnole des dix dernières années, au déplacement progressif vers le réel. Chez plusieurs écrivains (Galarza, Fabián Sasas, Luigi Amara, Mario Levrero et Roberto Merino), la critique a identifié une « pratique territoriale du quotidien » (Ludmer 2011). Celle-ci consiste en l’abandon de l’interprétation du passé récent au profit de narrations centrées sur l’immédiateté du présent. On observe une même tendance – avec de nombreuses variations – dans des récits de langue française (François Maspero, Annie Ernaux), anglaise (Teju Cole, Tao Lin) et allemande (Robert Walser, W. G. Sebald).
Tout un pan de la littérature de fiction des vingt-cinq dernières années offre ainsi une « représentation ethnographique du présent » (Sarlo 2007), faisant apparaître l’hétérogénéité des temporalités et la diversité des types d’espaces qui caractérisent la quotidienneté de nos jours. Ces œuvres témoignent également des diverses transformations et tensions sociales qui se traduisent aujourd’hui dans l’expérience de l’espace. Elles expriment enfin une nouvelle expérience de l’espace, à la fois en représentant la routine et en rendant compte de déplacements à travers les espaces et les non-lieux qui forment le tissu de la vie quotidienne dans les sociétés à l’heure de la mondialisation (Augé 1986 & 1992).
La finalité du présent dossier de la revue Interférences littéraires/Literaire interferentiessera de réfléchir aux différents modes en fonction desquels l’espace du quotidien se construit dans la fiction contemporaine. Il s’agira concrètement de se demander comment, de nos jours, la fiction fait œuvre de l’espace quotidien, c’est-à-dire mobilise ce qui, précisément en raison de son caractère commun et de sa supposée évidence, a longtemps été perçu comme parfaitement indigne de devenir matière de récit (Perec 1973, Felski 2000, Highmore 2002). Ce numéro visera ainsi à examiner comment une matière narrative qui, traditionnellement, est censée rester étrangère à la littérature, nourrit paradoxalement, ces dernières années, un courant particulièrement vivace de la production littéraire, à l’échelle mondiale.
Le dossier rassemblera de façon privilégiée des contributions qui combineront la réflexion théorique avec l’étude d’un cas concret ou des analyses comparatives de différentes œuvres. Les contributions pourront être écrites en anglais, en espagnol, en français, en allemand, en italien ou en néerlandais. Les propositions d’articles (entre 300 et 400 mots) sont à adresser à Liesbeth François (liesbeth.francois@arts.kuleuven.be) et à María Paz Oliver (maria.oliver@student.kuleuven.be) avant le 30 mars 2013. Les auteurs seront informés le 1er mai au plus tard de l’acceptation de leur proposition. Les articles, quant à eux, devront être envoyés pour le 1er septembre 2013 au plus tard. Ils seront évalués anonymement par deux lecteurs, selon le principe du peer-reviewed. La publication du numéro est prévue pour juin 2014.
Bibliographie indicative
Augé Marc, Un Ethnologue dans le métro(1986), Paris, Hachette, 1987.
Id., Non-lieux. Introduction à une anthropologie de la surmodernité, Paris, Seuil, 1992.
Id., Journal d’un SDF, Paris, Seuil, 2011.
de Certeau Michel, L’Invention du quotidien, Paris, Union Général d’Édition, 1980.
Felski Rita, « The Invention of Everyday Life », dans New Formations, n° 39, 1999–2000, pp. 15–31.
France, 1978-1979 y 1979-1980, trad. Patricia Wilson, Mexico, Siglo XXI Editores, 2005.
Raum und Bewegung in der Literatur. Die Literaturwissenschaften und der Spatial Turn, s. dir. Hallet Wolfgang & Neumann Birgit, Bielefeld, Transcript, 2009.
Highmore Ben, The Everyday Life Reader, London, Routledge, 2002.
« Raconter le quotidien aujourd’hui », dans Temps zéro, n° 1, s. dir. Huglo Marie-Pascale, 2007. [En ligne], URL : www.tempszero.contemporain.info/document68
Kaplan Caren, Questions of Travel. Postmodern discourses of displacement, Durham and London, Duke University Press, 1996.
Lefebvre Henri, Critique de la vie quotidienne, Paris, L’Arche, 1947.
Ludmer Josefina, « Literaturas postautónomas », dans Ciberletras. Revista de crítica literaria y de cultura, n° 17, 2007. [En ligne], URL : http://www.lehman.edu/faculty/guinazu/ciberletras/v17/ludmer.htm
Perec Georges, L’Infraordinaire, Paris, Seuil, 1989.
Sarlo Beatriz, « La novela después de la historia. Sujetos y tecnologías », dans Escritos sobre literatura argentina, Buenos Aires, Siglo XXI, 2007, pp. 471-482.
Sheringham Michael, « Attending to the Everyday : Blanchot, Lefebvre, Certeau, Perec », dans French Studies, n° 54, 2000, pp. 187-199.
Id., Everyday Life. Theories and Practices from Surrealism to the Present, Oxford, Oxford University Press, 2006.
Soja Edward, Postmodern Geographies. The Reassertion of Space in Critical Social Theory, London-New York, Verso, 1989.
Responsable : Liesbeth François (KU Leuven) & María Paz Oliver (KU Leuven)
Url de référence :
http://www.interferenceslitteraires.be/
Adresse : Faculteit Letteren Blijde-inkomststraat 21 B 3000 Leuven (Belgium)
Experiences of Time in Literature
Appel à contribution
Information publiée le lundi 4 février 2013 par Perrine Coudurier (source : Riikka Rossi)
Date limite : 28 février 2013
Call for Papers
Experiences of Time in Literature
7 - 8 May 2013, Helsinki, Finland
The conference explores different ways in which literature deals with the experience of time. How has the experience of time changed in literary history and how do different genres give expression to experiencing time? How have the three dimensions of time – the past, present and future – been manifested, examined and imagined in literature? A literary work expresses different forms of experiencing time through its characters, narrative strategies and its entire logic of construction. Time is also a central concept in history, philosophy, psychology, physics and other sciences, and the question of experiencing time can be productively theorized and conceptualized in terms that cross disciplinary boundaries. We invite papers on topics that may include but should not be limited to:
? Different ways of experiencing time in literature
? Experiencing, representing and imagining the past, present and future
? Memory, trauma, testimony
? Melancholy and nostalgia
? Periods and demarcations: histories of literature
? Time and temporality in poetry and poetics
? Narrated time, narration time, time in narrative studies
? Theories and concepts of time - multidisciplinary views
? Temporal paradoxes
Our keynote speakers are:
Colin Davis (Royal Holloway, University of London)
Andrew Gibson (Royal Holloway, University of London)
Martin Middeke (University of Augsburg)
Kuisma Korhonen (University of Oulu)
Liisa Steinby (University of Turku)
The keynote lectures will be in English. The languages of the parallel sessions are English, Finnish and Swedish.
Please send a proposal (max 300 words) for a 20 minute paper and a short biographical note to Hanna Lahdenperä (flrs.conference@gmail.com) by 28 February 2013.
The conference fee is 80 e (the fee includes coffee/tea and pastries during the coffee breaks). The conference dinner will cost approximately 40 e.
Conference delegates are expected to organize their own travel and stay in Helsinki.
The conference is the annual research symposium of the Finnish Literary Research Society.
The conference is organized by:
The Finnish Literary Research Society (http://pro.tsv.fi/skts/inenglish.html)
The Finnish Doctoral Programme for Literary Studies (http://www.helsinki.fi/kituko/in_english/index.html)
The Academy of Finland research project “Literature and Time: Time, Modernity, and Human Agency in Literature” (http://www.hum.utu.fi/oppiaineet/yleinenkirjallisuus/en/research/literatureandtime.html)
The Emil Aaltonen research project “The Experience of History and the Ethics of Storytelling in Contemporary Arts” (http://www.hum.utu.fi/oppiaineet/yleinenkirjallisuus/en/research/experienceofhistory.html)
Responsable : The Finnish Literary Research Society
L’écriture de l’Espace et espace de l’Écriture dans les littératures francophones et méditerranéennes
Appel à contribution
nformation publiée le samedi 27 octobre 2012 par Matthieu Vernet
(source : ATALLAH Mokhtar)
Date limite : 30 juin 2013
Appel à contribution pour un ouvrage collectif
PNR : Les représentations linguistiques et socioculturelles des imaginaires méditerranéens
L’écriture de l’Espace et espace de l’Écriture dans les littératures francophones et méditerranéennes
Argumentaire
Si le terme « écriture » est inhérent à la réflexion sur la littérature depuis son antique institutionnalisation [Cf. passage de l’oral à l’écrit], le concept « espace » demeure une exhortation assez particulière pour la relance de l’activité « lectorale » de l’« Imaginaire », qui s’explique par la prospection liminaire de l’activité « scriptorale » de l’objet littérature, d’où l’affrontement perpétuel du couple Ecrivain-Lecteur selon les stratégies de l’intangible et du stéréotype.
Formellement, les hypothèses les plus admises sur la notion d’« espace » réfèrent non seulement au corps des textes répartis sur l’in-foliodes oeuvres scripturaires, avec tout leur cortège de syndromes de « page blanche », mais aussi à l’élément extra-textuel concrètement observable, qui fascine les écrivains.
Cette réflexion sur l’« écriture » et l’« espace » qui s’inscrit doublement dans le cadre de l’analyse littéraire rejette toute restriction et ne se limite pas à la simple élucidation du processus de composition d’un texte. Dans cette perspective, deux axes d’étude y affèrent :
1ère elle devrait, outre nos interrogations sur la forme du récit, porter sur les éléments spécifiques, inhérents aux affects et à la curiosité du lecteur qui appréhende le fait littéraire comme une activité aussi bien ludique que culturelle et symbolique ;
2ème elle nous permettrait, postérieurement à une approche systématique de l’énonciation, de pénétrer dans l’espace de la langue en emploi selon des procédés sociologiques et / ou anthropologiques.
L’invitation au débat sur cette problématique qui anime la controverse universitaire, implique aussi bien les enseignants que les jeunes chercheurs.
Les collègues désireux de participer sont priés d’envoyer leurs propositions avant le 30 juin 2013 à l’adresse électronique suivante :
Dr. Mokhtar ATALLAH
Université Abd el Hamid ibn Badis de Mostaganem
Responsable : ATALLAH Mokhtar
Url de référence :
http://www.univ-mosta.dz/
Adresse : Université Abd el Hamid ibn Badis Faculté des Lettres & des ArtsDépartement de français27000 Mostaganem Algérie
(ACLF)
Création, recréation et distorsion de l'image dans les littératures francophones
Information publiée le vendredi 4 janvier 2013 par Vincent Ferré (source : stefania Cubeddu)
Date limite : 15 février 2013
Colloque annuel
ACLF: Association Chercheurs en Littératures Francophones
Avec le soutien du CIEF: Centre International d’Études Francophones
Création, recréation et distorsion de l’image dans les littératures francophones
14 et 15 juin 2013
Dans un monde de plus en plus influencé par les représentations visuelles, la littérature en tant qu’expression privilégiée de l’homme et des humanités se positionne et évolue dans un rapport étroit à l’image. Création marquée par l’œil de l’écrivain, l’œuvre littéraire élabore et propose au lecteur des images comme représentations du monde, de soi et de l’autre. En ce sens, les images mises en discours, façonnées et véhiculées par la littérature sont susceptibles d’être déformées par la subjectivité et l’intention de l’écrivain.
Si l’on peut considérer la littérature comme un corps textuel, l’œil, tant du point de vue de l’image décrite que de ses « re-présentations », fait état de distorsions à plusieurs degrés, qui sont autant de significations sémantiques et graphiques. Le texte se fait corps de passage des images, du groupe social et de l’auteur lui-même, livrant au lecteur une image distendue, déformée. À travers quels procédés discursifs ces images, passées au prisme du corps textuel, sont-elles « rendues » au monde ? Quel pouvoir leur attribuent les écrivains ? Quels rapports entretient la littérature avec les autres expressions artistiques qui se tournent naturellement vers l’élaboration des images ?
Les littératures francophones ont été depuis leur naissance des témoins perméables de grands bouleversements du monde. Que ce soit pendant les périodes de découverte guidée par les mouvements colonisateurs ou lors des changements majeurs qu’ont connus les sociétés tout au long du XXe siècle, les écrivains francophones ont porté leur regard sur les imaginaires. L’extrême contemporain dans lequel s’inscrivent ces productions littéraires confirme la possibilité d’y étudier l’évolution continue du traitement textuel de l’image.
Voici quelques pistes de réflexion :
- Approches théoriques : discours et mise en texte dans les représentations de l’image dans la littérature et les arts, quelle théorie pour penser l’image en littérature ?
- Image et psychisme dans le texte littéraire : images de l’inconscient, hallucinées, ou façonnées par la schizophrénie, l’expression de l’aliénation par le biais de l’image.
- L’écriture littéraire comme image métatextuelle : entre texte et calligraphie, le corps textuel en mouvement, la création d’une mise en abyme comme image textuelle.
- La littérature et les arts tournés vers l’image : la théâtralité du texte littéraire, l’aller-retour entre le texte littéraire et l’expression cinématographique, l’hypotypose comme expression littéraire de la peinture.
- Musique et récit : élaboration de la synesthésie, écriture, musique et oralité dans la construction d’une image.
- Littérature, documentaires et reportages : le travail de déconstruction et/ou reconstruction du réel ; la force du récit dans les images d’époque ; la photographie : récits d’images fixes ?
La publication des actes du colloque est envisagée.
Les propositions (300 mots), accompagnées d'une notice bio-bibliographique, sont à envoyer, au plus tard le 15 février 2013, à Claudia Canu et Victoria Famin, à l’adresse suivante :
colloque.aclf@gmail.com
Une fois la proposition acceptée, les frais d'inscription au colloque, de 50 €, sont à envoyer à l'ordre de l'ACLF, 1, rue Victor Cousin, 75005 Paris.
Responsable : ACLF et CIEF
Adresse : ACLF1, rue Victor Cousin 75005 Paris
EXPOSÉ LIMINAIRE
de la soutenance en vue de l’obtention du grade de Philosophiae Doctor (PhD)
de l’Université de Bergen
Spécialité : Littérature francophone
Titre de la thèse
LA CORRELATION TEMPS-ESPACE DANS
L’ŒUVRE ROMANESQUE DE MONGO BETI
Parcours chronotopique de Ville cruelle, Perpétue
etBranle-bas en noir et blanc
Directeurs de thèse :
-ProfesseurHelge Vidar HOLM, Université de Bergen, Norvège
- Maître de conférences Joseph OZELE OWONO, École Normale Supérieure - Université de Yaoundé I, Cameroun
Membres du jury:
- Présidente: Maître de conférences Margery VIBE SKAGEN, Université de Bergen, Norvège
- 1er opposant:Professeur Xavier GARNIER, Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3
- 2e opposant: Maître de conférences Auguste OWONO-KOUMA, École Normale Supérieure - Université de Yaoundé I, Cameroun
Modérateur:
Maître de Conférences Harald ULLAND, Université de Bergen, Norvège
Candidat: Lin Bernard NKA
Bergen, décembre 2011
Extrait:
Notre choix de mener une étude sur le chronotope s’inscrit dans la mouvance du Spatial Turn postmoderniste, le tournant de la « spatialisation » à la « production de l’espace », une approche qui tend à mettre en lumière la dynamique de l’œuvre d’art, du roman pour ce qui nous concerne, comme création spatio-temporelle, et offre des perspectives nouvelles à la recherche sur la concrétisation du temps dans l’espace.
Notre découverte du concept bakhtinien de chronotope et de son développement dans Les soleils des indépendances d’Amadou Kourouma pendant notre cycle de Master nous a incité à relever le défi de combler le vide heuristique dû à la quasi absence d’études sur le chronotope dans le roman de Mongo Beti, écrivain pourtant le plus étudié dans son pays, en cherchant à mettre en lumière des instances romanesques présentant des dialectiques susceptibles d’enrichir le concept de chronotope.
Pour y parvenir, nous avons emprunté à l’herméneutique littéraire la méthodologie de la lecture chronotopique spécifiquement adoptée par Tara Collington (2006) à la suite de Paul Smethurst (2000) auteur de Reading Time and Space). Pour soutenir nos analyses, nous avons mis à profit les travaux de Philippe Laburthe-Tolra sur la société Beti du Cameroun et ceux de spécialistes dans les domaines relatifs aux chronotopes relevés. L’incursion dans la dimension culturelle du contexte nous a permis de développer dans le texte des valeurs chronotopiques mises en évidence par des représentations socioculturelles.
Les trois romans sur lesquels nous avons choisi de mener notre étude répondent au principal critère de leur place historique, biographique et dramatique. Historiquement, chacun d’eux représente une époque: la colonisation, la dictature postindépendances et la mondialisation.
Biographiquement, nous avons choisi le tout premier roman, un roman du milieu de la carrière et le dernier roman publié du vivant de l’auteur. Au plan dramatique, chacun des romans rend compte d’un état de l’Afrique dans le parcours de ses rapports avec l’Occident; les titres en sont significatifs:
Ville cruelle = l’Occident en Afrique, l’ère de la cruelle désillusion de la « civilisation », Perpétue et l’habitude du malheur = L’Afrique de l’autodestruction où le malheur devient un mode de vie, Branle-bas en noir et blanc = le monde en Afrique ou l’Afrique de la globalisation.
Lin Bernard NKA
(Dé)placements: le corps et l'espace
Appel à contribution
Information publiée le mercredi 4 avril 2012 par Alexandre Gefen (source : Sarah Jacoba)
Date limite : 31 juillet 2012
Colloque estudiantin interuniversitaire
Appel de communications
L’Association des étudiant(e)s de 2ème et 3ème cycles des départements d’études françaises des universités Western Ontario, Queen’s, Waterloo et du Québec à Montréal vous invitent à soumettre des propositions de communications sur le thème « (Dé)placements: le corps et l’espace ».
Depuis le vingtième siècle, le corps est un sujet de prédilection qui a fait couler beaucoup d’encre : on a voulu en marquer l’existence dans le cadre de l’acte d’écriture, en faire le champ de bataille de luttes idéologiques, l’effacer même, et avec celle de l’auteur, célébrer sa mort et son absence. Le corps n’est-il pas ce grand absent duquel la parole est détachée, arrachée, fixée sur la page? Comment réconcilier cette chose mobile avec le texte littéraire, cette chose figée, inchangeable autrement que par l’oubli? Le corps, bien sûr, c’est aussi ce point dans l’espace qui correspond ou non avec le lieu de l’énonciation. Et au-delà, les lieux eux-mêmes, ceux que l’on habite, lieux humains dans lesquels nous sommes en transit, captifs dans l’espace et dans le temps; les lieux, aussi, que l’on représente, que la littérature donne à voir et, dans les meilleurs des cas, nous donne peut-être à habiter. Comment les lieux apparaissent-ils? Comment, parfois, disparaissent-ils aussi?
Les présentations en français, portant sur des sujets touchant aux études littéraires, aux arts, à la linguistique et aux sciences humaines, seront d’une durée maximale de vingt minutes (approximativement 2 500 mots ou dix pages à double interligne). Voici une liste non exhaustive de pistes de réflexion qui peuvent être abordées :
•Le lieu et le non-lieu de l’énonciation;
•La littérature de voyage et d’exil;
•L’espace urbain et l’espace rural;
•L’errance et l’oisiveté;
•La littérature migrante;
•Le pays imaginaire et l’imaginaire du pays;
•L’esclavage ou l’exploitation;
•Le corps comme espace idéologique;
•L’adaptation d’oeuvres littéraires (cinéma, théâtre, photographie, chanson);
•Le chronotope (l’espace-temps du récit);
•Le sensualisme et le naturalisme;
•L’érotisme et la sexualité;
•Le corps féminin;
•Le mysticisme et l’espace intérieur;
•La médecine, la maladie et la mort;
•L’espace et le corps en transition, l’espace et le corps de transition;
•La communication et l’isolement;
•La revenance, la hantise et la folie.
Les propositions de communication (250 mots à double interligne) accompagnées d’une notice biographique (précisant l’état actuel de vos recherches, vos champs d’intérêt, de même que votre université d’attache et votre programme d’études) doivent être envoyées par voie électronique avant le 31 juillet 2012 à l’adresse suivante: colestud@queensu.ca. Dans la mesure du possible, précisez le cadre théorique de votre recherche. Un numéro de la Revue Frontenac, liée au Département d’études françaises de l’université Queen’s, sera consacré à la publication des actes du colloque.
Le colloque se tiendra à l’université Queen’s les 27 et 28 octobre 2012.
Responsable : Sarah Jacoba
Url de référence :
http://www.queensu.ca/french/news/speakers.html
Adresse : Department of French Studies Kingston Hall, room 301 Queen's University Kingston, ON K7L 3N6 Tél : 613-533-2090 Télécopieur : 613-533-6522
Source: Fabula
L'enseignement du Français dans les établissements universitaires de formation scientifique, état des lieux et perspectives
Appel à contribution
Information publiée le samedi 31 mars 2012 parAlexandre Gefen(source :Awatif BEGGAR)
Date limite : 30 mai 2012
Appel à communication
Le colloque sur « l’enseignement du Français dans les établissements universitaires de formation scientifique, état des lieux et perspectives » aura lieu les 22 et 23 novembre 2012 à la faculté des sciences-Meknès. L’objectif de cette manifestation est de rassembler enseignants, chercheurs et concepteurs de manuels de renforcement linguistique pour mener une réflexion sur les programmes, les acquis, les obstacles et les perspectives pédagogiques de l’enseignement du Français pour un public scientifique à l’université.
Argumentaire
A l’université marocaine, la maîtrise de la langue française constitue une condition nécessaire pour la saisie et la compréhension des contenus disciplinaires et, à terme, pour une bonne intégration dans le marché de l’emploi. C’est pour ces raisons que le renforcement linguistique occupe une place de choix dans le programme d’urgence 2009-2012, réalisé par le Ministère de l’Education Nationale et de L’Enseignement Supérieur. Dans ce sens, plusieurs efforts ont été déployés pour l’élaboration de tests de positionnement et de manuels ainsi que pour la mise en place de centres de ressources linguistiques…
Trois ans après l’application de ce plan, où en sommes-nous dans l’enseignement de la langue ? Les objectifs fixés ont-ils été atteints ? Quelles sont donc les perspectives d’avenir ?
L’organisation de ce colloque vient à point nommé pour dresser un bilan et entamer une réflexion concernant les conditions et les possibilités d’affinement et de perfectionnement de ce qui a été jusqu’ici réalisé. Un intérêt particulier sera accordé aux établissements scientifiques pour les raisons suivantes :
Ainsi les trois principaux thèmes proposés aux contributeurs sont :
1. Les choix didactiques et les approches pédagogiques mis en oeuvre dans les établissements universitaires de formation scientifique :
Il s’agira de s’interroger sur le choix de ces approches et sur leur mise en application pour dresser un bilan des expériences et des activités réalisées dans les établissements scientifiques.
Ainsi, un intérêt particulier sera accordé aux programmes de langue destinés aux filières scientifiques : quels sont ces programmes ? Permettent-ils de combler les lacunes des étudiants ? Quels sont les obstacles rencontrés dans leur mise en oeuvre ? Comment peut-on surmonter ces obstacles pour aider les étudiants à maîtriser la langue française ?
2. Le français sur objectifs universitaires (FOU) :
Quelles sont les spécificités de ce concept ? Quelles sont les modalités de son articulation avec le français sur objectif spécifique et le français de spécialité, à savoir le français scientifique ? Quelles notions et quelles démarches pour l’acquisition de compétences professionnelles ?
3. Les NTIC et l’enseignement de la langue française :
Comment les nouvelles technologies de l’information et de la communication au service de l’enseignement peuvent-elles optimiser une mise à niveau en langue française pour un public scientifique ?
Comité scientifique :
Présidence du comité scientifique :
Pr. Mohamed ESSAOURI, Professeur de l’Enseignement Supérieur, MAROC
Membres du comité scientifique :
Pr. Abderrahmane TENKOUL, Président de l’université Ibn Tofail- Kénitra, MAROC
Pr. Malika BAHMAD, Enseignant-chercheur en linguistique appliquée, Université Ibn Tofail-Kénitra, MAROC
Pr. Awatif BEGGAR, Enseignant-chercheur en langue et communication, Université Moulay Ismaïl, MAROC
Pr. Naïma EL BEKRAOUI, Enseignant-chercheur en linguistique appliquée, Université Hassan II Mohammedia-Casablanca, MAROC
Pr. Amal CHEKROUNI, Enseignant-chercheur en linguistique, Université Moulay Ismail, MAROC
Pr. Jean-Marc DEFAYS, Directeur de l’Institut Supérieur des Langues Vivantes, Université de Liège, BELGIQUE
Pr. Zohra LHIOUI, Professeure de l'Enseignement Supérieur, Chef de département de Langue et Littérature françaises, Faculté des Lettres et des Sciences Humaines, Université Moulay Ismaïl, MAROC
Pr. Jean-Marc MANGIANTE, Maître de conférences en linguistique et Français Langue Etrangère, Université d’Artois, FRANCE
Pr. Chantal PARPETTE, Maître de conférences en didactique du Français Langue Etrangère, Université Lumière-Lyon 2, FRANCE
Pr. Mounia Aisha SEBANE, Maître de conférences en didactique, Responsable du CEIL, Université de Mascara, ALGERIE
Responsable :Awatif BEGGAR
Url de référence :http://colloque-umi.on.ma
Adresse : Faculté des sciences, Zitoune, Meknès, MAROC
Source: Fabula